Les actes de vandalisme contre des églises ont augmenté.
Les chrétiens, généralement d’origine palestinienne, se disent traités comme des citoyens de seconde zone. Dans les régions à majorité juive ultra-orthodoxe, des manifestations, provoquant parfois des dégâts, se tiennent régulièrement devant des bâtiments de culte des juifs messianiques (chrétiens d’arrière-plan juif).
Plusieurs juifs messianiques qui souhaitent émigrer en Israël se voient refuser leur permis de résidence à cause de leur conversion au christianisme. Enfin, les groupes chrétiens non traditionnels ne sont pas reconnus officiellement par le gouvernement comme des «communautés religieuses», ce qui ne leur laisse que de moindres droits dans des domaines comme le mariage, les enterrements ou d’autres rites religieux.